De marraine à mère célibataire

Publié le par Lucie Delarosbil

Nom : Angélique Brasseur. Née le 2 décembre 1773, à Paspébiac, elle était la deuxième de cinq enfants.

Ses parents : Mathurin et Catherine Duguay, mariés vers 1771, à Paspébiac. Né vers 1839, sixième de onze enfants, Mathurin était le fils des pionniers Mathieu Brasseur et Anne-Marie Pitre, venus de l'Acadie. Née vers 1752, septième de neuf enfants, Catherine était la fille des pionniers René Duguet et Marguerite Lebreton.

Ses frères et sœurs : Marguerite (±1772-1809), Joseph (1777-1817), Emmanuel (1780-1838) et Madeleine (±1787).

Son mariage : aucun en vue.

Ses enfants : un fils illégitime prénommé Jacques le 16 août 1795. Il était né le 21 avril; elle, âgée de vingt et un ans. Sa tante par alliance, Françoise Gallien, fut la marraine du petit Jacques qui décéda à l'âge de cinq ans.

Sa sépulture : aucune trouvaille.

Particularités: Quelques années avant de donner naissance à son enfant, elle est choisie pour devenir la marraine des deux enfants suivants :

  • Jean-Urbain Dunis (Denis), le 27 août 1791, fils de Louis et de Marguerite Brasseur (sa sœur aînée);
  • Marie-Osite Dugaie (Duguay), le 29 avril 1792, fille de René (son oncle maternel) et de Françoise Gallien.

Trois autres naissances un 2 décembre :

  • Michel-Honoré Chapados en 1817, fils de Michel et de Rosalie Landry, à Paspébiac;
  • Adélaïde Grenier en 1827, fille de Charles et d'Anne Roussy, à Port-Daniel.
  • Abel Roussy en 1827, fils de Louis et d'Elisabeth dite Beaudet, à Paspébiac.

© Lucie Delarosbil, 2016

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