Léon Bertran et Jean Bertrand
Non : Léon Darosbil. Né le 13 décembre 1783, à Paspébiac, il était le quatrième de neuf enfants.
Ses parents : Bertrand Darrosbile et Marie Dunis, mariés vers 1776, à Paspébiac. Né en 1733, premier de deux enfants, Bertrand était le fils de Bertrand Darospide et de Marie Larralde, de Bidart, Pyrénées-Atlantiques. Née vers 1755, première de cinq enfants, Marie était la fille de Louis Dunis et de Madeleine Laroque. Auparavant, sa mère avait été mariée avec François Mallet et elle avait eu une garçon et une fille.
Ses frères et sœurs : Marie (1777-1851), Pierre (1779-1834), Geneviève (1781-1859), Marguerite (1785-1812), Catherine (v1786-1851), Hélène (1790-1860), Adrien (1792-1860) et Isabelle (1797).
Son mariage : aucun en vue.
Ses enfants : aucun en vue.
Sa sépulture : aucune trouvaille.
Particularités : Dans le répertoire des registres de Paspébiac de 1773-1910, il est inscrit sous le prénom de Jean-Bertrand (p. 218), alors que dans son acte de baptême, du 22 janvier 1784, il est bien inscrit Léon, fils de Bertran Darosbil. Dans la marge de cet acte, un deuxième prénom est ajouté, Bertran, ainsi que pour sa soeur en 1797, Isabelle Bertrand Delarosbil. D'ailleurs, il porte le même prénom que son parrain Léon Rousie fils (Roussy). Ce qui amène l'hypothèse, quand même plausible, qu'un autre fils de Bertrand Darrosbile et de Marie Dunis, prénommé Jean, ait pu naître entre Adrien et Isabelle, entre 1792 et 1797, en une autre période de documents manquants. Ce qui justifierait aussi le nom du parrain de Virginie Fruing en 1808, Jean Bertrand, pouvant être âgé de quatorze ou quinze ans, si né en 1793 ou 1794. À cette époque, le prêtre missionnaire Fitzsimmons attribue aux enfants de cette famille les patronymes Bertrand et Rosbil.
Trois autres naissances un 13 décembre :
- Suzanne Loisel en 1820, fille d'André et de Madeleine LeBrasseur, à Paspébiac;
- Marie Delarosbil en 1823, fille d'Adrien et de Marie-Osite Duguay, à Paspébiac;
- Isaac Gignac en 1831, fils de Pierre et d'Anastasie Laroque, à Paspébiac.
© Lucie Delarosbil, 2016