Tant de points communs
Nom : Victoire Laroque. Née le 14 décembre 1815, à Hopetown, elle était la première de cinq enfants du premier mariage de son père, et de quinze enfants si on ajoute ceux des secondes noces.
Ses parents : Charles Laroque et Cécile David, mariés le 21 novembre 1814, à Pabos. Né en 1791, deuxième de quatorze enfants, Charles était le fils de Joseph Laroque (fils de Georges) et de Marguerite Cyr (fille de Geneviève Langlois). Née en 1796, quatrième de dix enfants, Cécile était la fille de François David (fils de Jean) et de Catherine Dunis (fille de Madeleine Laroque). Cécile David décède en 1821 à vingt-cinq ans. Madeleine Laroque était donc l'arrière-grand-mère de Victoire Laroque dans sa lignée matrilinéaire. Et Georges Laroque, le frère de Madeleine, son arrière-grand-père dans sa lignée patrilinéaire. Charles et Cécile avait en commun des arrière-grands-parents, Marguerite Caplan et François Laroque.
Ses frères et sœurs : Anonyme (1817-1817), Anonyme (1818-1818), Charles (1820-1821), Anonyme (1821-1821), Germain (1823-1895), Caroline (1824-1889), Modeste (1828), Marie (1830), Théophile (1833), Marie (1835-1858), Joseph-Isaac (1837), Guillaume (1839-1922), Perpétue (1842-1891) et Sophie (1845).
Son mariage : le 18 novembre 1833 avec Pierre-Jean Chapados, à Hopetown. Né en 1809, premier de deux enfants, Pierre-Jean était le fils de Michel Chapados et de Marguerite Darosbil. Sa mère meurt en 1812, son père se marie en 1814 avec Rosalie Landry et son unique soeur décède en 1829 à 18 ans. Sept enfants naissent de la deuxième union de son père. Michel et Marguerite avait aussi en commun des arrière-grands-parents, Marguerite Caplan et François Laroque, les mêmes que les parents de Victoire.
Ses enfants : Cécile (1835-1835), Pierre (1837-1891), Philomène (1839-1870), Antoine (1841-1911), Romain (1844), Marguerite (1846-1913), Romain (1851-1892), Cécile (1856-1878) et Marie (1857).
Sa sépulture : aucune trouvaille.
Particularités : Elle possède au moins cinq points communs avec Pierre-Jean Chapados quand elle l'épouse : elle est l'aînée de la famille; elle perd sa mère très jeune, à cinq ans (lui, à trois ans); elle devient l'unique survivante de la première union de son père; ce dernier se remarie; elle hérite de plusieurs frères et soeurs issus de la seconde union de son père. Concernant ses neuf enfants, elle en perd deux en bas âge : la première, sa fille Cécile en 1835, la seconde renommée en 1856, après ses filles Philomène et Marguerite; et son fils Romain en 1844, qui sera remplacé plus rapidement à la naissance du garçon suivant en 1851. Il y avait déjà eu Pierre et Antoine avant les deux Romain. Finalement, on sait que les enfants survivants se marient plus tard, mais on ne sait de ce qu'il advient de la petite Marie née en 1857.
Autres naissances un 14 décembre :
- Barbe Dohingue en 1811, fille de Jean et de Geneviève Alaigre, à Hopetown.
- Guillaume Castillou en 1822, fils de Hubert et de Marguerite Grenier, à Paspébiac;
- Stanislas Roussy en 1825, fils de Stanislas et de Charlotte Lancup, à Paspébiac
- Pierre Grenier en 1830, fils de Jacques et de Catherine Duguay, à Paspébiac;
- Jacques Loisel en 1831, fils de Jean et de Rose Duguay, à Paspébiac
© Lucie Delarosbil, 2016