Dans les fictions
1988 - L'Ombre de l'Épervier - Noël Audet
L'auteur met en action « un personnage peu commode, un certain M. Delarosbille, délégué par le père Robin pour mettre de l'ordre à Paspébiac. » Dans le même chapitre intitulé « l'entente », une description du personnage démontre une réelle incertitude sur ses origines :
« Ayant administré les affaires de Robin à Londres pendant plusieurs années, Delarosbille avait partiellement perdu son français, à moins que, Jersiais de naissance, il n'ait été d'abord anglophone. Toujours est-il qu'il parlait une drôle de langue, mais personne ne songeait à se moquer de lui tant il en imposait par son calme, son assurance, sa taille, sa blondeur tout anglaise... »
1993 - Nous irons tous à Métis-sur-Mer - Vincent Nadeau
Bien que l'on croit, à cause du titre, devoir rencontrer un personnage en lien avec la pêche, « monsieur Delarosbil [...] est un éleveur honorable » pour la mère, mais qui « pue autant que ses gorets » pour Marie-Laure.
De son côté, le père le surnomme bonhomme Delarosbil et l'invite au réveillon pour sa fille qui n'en veut rien savoir. Pauvre de lui ! Il termine sa courte mission romanesque en « malheureux Delarosbil » qui s'en retourne « épuisé et pompette ».
2005 - Le Maître de Grave - Robert Hudon
L'auteur raconte une histoire de Basques à Paspébiac qui travaillent pour l'entreprise de Charles Robin. À un moment donné, un nouveau personnage apparaît dans le décor des contremaîtres graviers, « un dénommé De la Rosbie » qui « connait ça la morue ! ». À la toute fin, De la Rosbie devient le nouveau maître de grave.
© Lucie Delarosbil, 2013